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Couple 1 support du plastron avant
Le couple moteur est au chaud dans la maison, car recouvert de fibre de carbone en cours de séchage.
Fuselage en treillis, mis en forme avant collage des couples, baguettes badigeonnées d'ammoniaque.
Berk ça pue et ça irrite les yeux et les poumons !
Vite un masque et on aère !
Le porte-carte sur le flanc droit
On voit bien les cales qui relèvent les flancs juste en dessous du pilote (Les flancs sont plus étroits en bas à partir du pilote arrière)
Entretoise et ferrures du noeud support de l'aile. On voit bien ces entretoises sur la construction d'un Stampe grandeur*
Collage des flancs du fuselage sur un chantier spécial pour empécher tout vrillage
On voit les entretoises métalliques.
Devant, la pièce arrondie sous le tableau de bord avant
(pas encore collée pour ne pas désaligner les flancs)
la pièce ajourée à l'arrière se trouve sous le tableau de bord arrière.
Entretoise à l'arrière du pilote
Repose réservoir ajouré
Support platine avant
Pour pouvoir sortir le réservoir, une découpe dans le couple du tableau de bord avant
Le tableau de bord viendra se visser sur ce couple
Coffre passager avant, on voit bien ici le porte-cartes du poste arrière !
Je me suis planté sur la taille de la trappe du coffre :
je croyais qu'elle était encastrée alors qu'elle est apparente et vissée : à refaire (voir plus loin !)
Coffre passager arrière
dernier couple supérieur, ajouré et traversé par 2 tiges filetées sur lesquelles viendra se fixer la pointe de la dérive.
Tableau de bord arrière
Ferrure du "noeud A", support du mat avant de cabane
La même, finie, avec les attaches de haubans croisés internes
Ferrure du "Noeud C", support du mat arrière de cabane
Ferrures du "Noeud R" support de la partie fixe de la dérive, de la roulette de queue et du hauban de stabilisateur.
Monté sur le fuselage
Fixations de la dérive
Coffrage recouvrement supérieur avant
Ouverture latérale permettant l'accès aux 4 haubans croisés internes
Coffrage du coffre à bagages
Pose des couples cockpit arrière - coffre avant
Comme vous pouvez le constater sur ces photos, j'utilise les multi-presses de marque Berna
Très faciles d'utilisation. L'astuce : les deux mors doivent être bien parallèles, sinon décrochage !
http://berna-clamps.e-monsite.com/
La dérive : lamellé - collé mi ctp, mi balsa pour le bord de fuite.
Les quatre nervures principales de la dérive et, en avant plan, le longeron vertical.
Toujours comparé à une photo d'un grandeur en construction.
avec les fameux serre-joints utilisés comme des valets d'établi !
Renforts en alu offset sur les queues de nervures
Tube alu cintré à l'avant
Capots moteur résalisés en alu (tole offset), mais refaits en balsa de 1mm + tissus et résine époxy (beaucoup moins lourd)
Idem pour les sièges, essai en alu (dommage, ça en jette, mais trop lourds !)
J'en profite pour glisser 2 astuces :
Quand on fait de la résine, on utilise un pinceau qui a tendance à sécher entre 2 séances !
Je mets le mien (manche rond obligatoire) à tremper dans un flacon surmonté d'une pipette goutte à goutte.
On perce l'embout en caoutchouc et on enfonce le pinceau qui trempe dans de l'alcool :
Plus d'évaporation de l'alcool et le pinceau est toujours prêt à l'emploi.
Pour doser la résine et le durcisseur en volume, rien de mieux que les pipettes de médicaments
Si vous avez des enfants (ou petits enfants) gardez précieusement les pipettes de Doliprane (ou autres) qui sont graduées.
Une pour la résine, l'autre pour le durcisseur - à nettoyer evec l'alcool.
Ça y est, je suis l’heureux possesseur d’un tour!
J’ai acheté un tour d'occasion, un FarTools ML400 qui fonctionne à merveille !
Malgré tous les conseils de prudence des copains ou glanés sur le net, j’ai déjà bloqué le tour.
J’étais en mode automatique, je surveillais l’avance pour ne pas toucher les mors
Et c’est le cache poussière plus bas qui s’est coincé !
Moment de panique, l’avance latérale bloquée et
la marche automatique qui ne fonctionne plus.
Démontage partiel de l’appareil, tout est décoincé. Ouf !
J'ai donc commencé par la roulette de queue
C'est ma première pièce tournée. (Fier de moi, quand même !)
Quelques défauts de surface, trop de jeu entre le corps du cylindre et la partie mobile.
Je comptais mettre une goupille pour permettre à la partie mobile d'effectuer des mouvements de bas en haut (suspension)
et j'avais percé le cylindre de part en part.
Mais j'avais oublié qu'avec une goupille, la roulette ne pourrait pas tourner !
J'ai tout refait :
avec un épaulement (bagué, s'il vous plait !) pour la suspension.
Une fois la pièce finie, je m'aperçois que les ferrures du Noeud R sont fausses !
Je m'étais fié à un dessin fourni avec le plan (à droite sur la photo),
mais les trous de fixation du train ne sont pas à la bonne hauteur.
j'ai donc refait les 6 pièces constituant le Noeud R
Et voilà un train amorti ! Il ne me manque plus qu'à acheter la fraiseuse pour fabriquer la fourche de la roulette !
Autres essais de tour
Roulette de queue. Je suis parti des roues d'un trainer. Le diamètre de la jante est bon, mais pas l'épaisseur
J'ai donc tourné dans de l'alu une nouvelle jante, au côtes du Stampe
La mousse du pneu est trop large, il faut aussi la passer au tour
Premier essai :
Le résultat ne me plait pas, je refais la jante :
c'est beaucoup mieux
La roulette finie
Pour le TRAIN AVANT, j'ai trouvé sur TopModel ces roues dont les dimensions sont parfaites
Malheureusement, ces roues sont inutilisables. Dommage, les jantes en alu sont magnifiques,
mais les pneus sont en plastique très dur, non compatibles avec les pneus gonflables
nécessaires pour une maquette.
J'ai donc commandé des DUBRO (Scientific France) chez Weymuller.